Dans l'analyse ICP-MS, l'échantillon est généralement introduit dans le flux d'argon sous forme d'aérosol de solution aqueuse, puis dans la région centrale des isolithes d'argon excités par l'énergie radiofréquence à pression atmosphérique. La température élevée du plasma provoque une désolvatation, une dissociation par vaporisation et une ionisation de l'échantillon. Une partie du plasma pénètre dans le système de vide à travers différentes régions de pression, et le cône d'échantillonnage est chargé de transmettre efficacement les ions du plasma à la section du spectre de masse.

Les cônes d'échantillonnage sont généralement constitués de métaux tels que Ni, Al, Cu, Pt, parmi lesquels les cônes en Ni sont les plus utilisés.
Cône d'échantillonnage, nous pouvons non seulement fabriquer une seule pièce, mais également des composants

Les cônes d'échantillonnage sont généralement constitués de métaux tels que Ni, Al, Cu, Pt, parmi lesquels les cônes en Ni sont les plus utilisés. Afin de répondre aux exigences de l’interface de collecte d’ions ICP-MS, le cône d’échantillonnage doit présenter plusieurs caractéristiques :

- Maximisation du passage des ions générés ;
- maintenir l'intégrité ionique de l'échantillon ;
- Maintenir les rendements en oxydes et ions secondaires aussi bas que possible ;
- rendre la décharge secondaire du plasma la plus faible possible ;
- Résistance au blocage ;

Souvent la configuration « standard » en raison de l’équilibre entre coût et performances.
Les options peuvent inclure une pointe en nickel massif avec une base en cuivre, une pointe en nickel massif avec une base en cuivre nickelé (voir ci-dessous) ou une pointe et une base en nickel massif.
Convient aux applications les plus courantes (échantillons environnementaux aqueux de routine,